La clause de conscience et le droit de tuer …

Publié par NATION le

La bien-pensance infiltrée dans le pouvoir politique, prétendument « démocratique », veut supprimer en France (nous en parlons car généralement, ce type de loi arrive assez vite chez nous après), la clause spécifique de conscience des médecins qui refusent de pratiquer l’avortement .

Même en étant le plus « humain » possible, le plus moderne possible, l’avortement doit être la « solution » ultime, lorsqu’il y a des risques tels que des risques d’handicap profond, suite d’un viol, risque létal pour la future maman, etc … L’avortement ne doit pas être une simple alternative aux moyens contraceptifs actuels. Et en tous les cas, un médecin doit garder le droit de pouvoir refuser de pratiquer un avortement .

Toucher à l’éthique d’une personne, toucher à son droit de clause de conscience, est digne d’un régime totalitaire et dictatorial ! Les progressistes appellent l’avortement un « acte thérapeutique »…C’est du grand n’importe quoi, qui rejoint les préceptes du « mon choix, mon plaisir, mon corps, etc », mais surtout le précepte de ne laisser aucun droit à celles et ceux qui pensent autrement.

L’évolution des droits, selon les progressistes et autres gauchistes de tous bords, est de la foutaise !

Je peux comprendre que l’interruption volontaire de grossesse soit parfois nécessaire. Mais à NATION, nous refusons que cette pratique de mort devienne un moyen de facilité, une sorte de nouvelle « pilule du lendemain », ou autres excuses bidon pour certaines féministes souvent « très à gauche » et donc forcément sans grande cervelle.

Jean-Pierre Demol


1 commentaire

TAMBURRINI · 30 octobre 2018 à 14 h 37 min

Je suis avec vous et le resterai
vive nos camarades
VIVE NATION
TAMBURRINI. F

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