Carte blanche : “Quelle guerre ?”

Publié par NATION le

Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Contre qui ? Combien ? Autant de questions auxquelles les responsables politiques répondent inlassablement et sans variante : « nous sommes en guerre contre le terrorisme ! ».

De Nice à Londres, de Stockholm à Barcelone, en passant par Berlin, les tueries barbares se succèdent.

On nous parle de voitures « folles » ou de camions « béliers ». Les conducteurs sont « déséquilibrés », sous l’emprise de médicaments ou alors totalement « bourrés ». La piste psychiatrique est maintenant systématiquement privilégiée…
En conclusion, depuis 2 ans, de plus en plus de piétons sont des victimes malheureuses des accidents de la circulation.

Mais, prudence, prudence, on doit absolument sanctifier le « Vivr’ensemble ».

Il ne faudrait tout de même pas jeter de l’huile sur le feu… Et c’est pourquoi la mafia politico-médiatico-financière impose dès lors une langue de bois, alors que pour toutes ces tueries, les assassins sont dans une très large majorité des islamistes et que la comédie atteint le grotesque quand la presse Internet/TV /Radio nous diffuse les témoignages des voisins ou de la famille vantant les qualités (il était « si gentil », « travailleur », « sans problèmes », « timide ») de chacun des terroristes. Tout cela bien sur sans que les journaux n’écrivent leurs noms…”pour ne stigmatiser personne !”

Les gouvernements nous prennent pour des imbéciles.

Si tous ne s’en rendent pas encore compte, les électeurs restent chez eux, écœurés par les bassesses et la veulerie des pourriticards du « politiquement correct ».

Une réaction des mougeons* n’est pas à exclure. Certains d’entre eux ouvrent lentement les yeux et découvrent que depuis des années nos gouvernants, nos politiques, nos institutions et la majorité de nos concitoyens font preuve de déliquescence morale, de décadence intellectuelle et d’un aveuglement prononcés.

Une minorité grandissante estime nécessaire la restauration des valeurs ancestrales qui ont permis à l’Europe de diffuser sa culture et de défendre sa civilisation, par-delà les mers et au travers des siècles, à l’opposé de ce que l’on nous apprend.

Un peuple qui se respecte, venge ses morts !
Et ce n’est pas avec des pleurnicheries, des repentances, des fleurs, des devoirs de mémoires, des flagellations, des bougies, des culpabilisations et des doudous que l’on se débarrassera des fanatiques islamistes qui tuent nos enfants !

Pieter KERSTENS

 

*½ mouton ½ pigeon « En marche ».


2 commentaires

Cholewa · 24 août 2017 à 13 h 34 min

Bonjour, sur “face-book”, il y a de plus en plus d’articles qui circulent, contre l’islamisation voulue par nos gouvernements, contre le “vivre ensemble”, alors que c’est possible, le tout c’est le respecte mutuel et de vivre à la façon du pays dans lequel on se trouve. Contre le “pas d’amalgame”, alors que ces gens nous provoquent par leur attitude et ne dénoncent pas ceux de leur communauté qui sont radicalisés, puis, font comme s’ils ne le savaient pas et s’imaginent que nous les croyons encore. J’ai même partager une citation du Général De Gaule à propos du “racisme”, qui explique le “pourquoi”. Dans les années 50, j’étais pré-ado et dans la région où je vivais, on pouvait voir sur la porte d’entrée de certains café, un petit écriteau portant l’inscription : “interdit aux chien, italiens, espagnols et grecs” et à l’époque, personne ne se vexait, bien content qu’on était de trouver du travail en Belgique, mais ces gens de l’époque se sont tellement bien intégré, qu’un de leur enfants est même devenu “premier ministre”. Tandis que ceux qui s’acharnent à vouloir imposer leur mœurs chez nous, cela m’étonnerait qu’il s’intègrent un jour !!!

    eylenbosch philippe · 25 août 2017 à 0 h 43 min

    Non, le “vivre ensemble” n’est pas possible et n’est même pas souhaitable : cela ferait beaucoup trop d’étrangers d’autres cultures (souvent incompatibles) dans le pays. Et tous les sociologues savent qu’au)delà d’un certain pourcentage de ce genre d’étrangers, la vie devient impossible et les autochtones ne se sentent plus chez eux

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