La gauche s’empoigne et puis se fâche sur NATION!

Publié par NATION le

Ce n’est pas de l’autosatisfaction que d’annoncer que nos publications sur les réseaux sociaux rencontrent un succès croissant, en particulier sur Facebook avec pour la plupart de nos publications, plusieurs milliers de visites, des centaines de like et de commentaires. Et ceci sans la moindre opération financière.

Mais récemment, un de nos publications a remporté un tel succès que même les gauchistes se sont senti obligés d’en parler.

Cette publication (que vous pouvez lire ICI sur notre page fb) parle des incidents violents qui ont éclaté au conseil communal de Farciennes où un conseiller communal de l’opposition, Abdoullah Fenzaoui, a été tellement agressif envers le bourgmestre qu’il a du être maîtrisé par la police.

Au moment où nous écrivons ces lignes (17h après la publication de notre article), on en est à 1.200 “like”, autant de commentaires et près de 400 partages.

Au point que les “spécialistes de l’extrême-droite” en ont été à devoir dénoncer le succès de notre publication, insistant évidemment sur le fait que les réactions en nombre étaient motivées par le fait de l’origine du conseiller communal mis en cause.

Il semblerait donc pour ces “démocrates”, un conseiller communal d’origine immigré puisse faire tout ce qu’il veut dans un “débat démocratique”, même être agressif et qu’on ne puisse même plus l’en critiquer. On se demande à quel point, tous ces antifa exigeraient par contre la répression, si un élu un peu trop à droite avait eu la même conduite que M. Aabdoullah Fenzaoui.

Mais peu importe les sentiments des gauchistes, le succès de notre publication démontre bien que l’opinion publique en a plus qu’assez des jeux politiciens hypocrites et agressifs de la gauche.

Notons aussi que par cette habituelle revue sur “l’extrême-droite”, en parlant du succès de notre publication, a démontré elle-même qu’elle s’était une fois de plus plantée sur sa dernière analyse de NATION dont récemmment elle annonçait la disparition. A noter d’ailleurs que cette analyse a depuis disparue de leur propre page Facebook.


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