Réflexion sur le réchauffement climatique !

Publié par NATION le

Depuis quelques semaines, les médias aux ordres insistent sur la réalité, tangible selon eux, du réchauffement climatique. En effet, les trois derniers mois auraient été les plus chauds jamais enregistrés depuis que les mesures existent. 

Cette affirmation semble corroborée factuellement par le recul des glaciers, la montée vers le nord de la limite de la vigne, ou encore par la survenance d'événements climatiques extrêmes.

Les médias complètent en général leur analyse en expliquant d'une part les origines du réchauffement, selon eux anthropiques, et d'autre part en formulant des solutions supposées: baisser son thermostat, isoler sa maison, recourir aux énergies dites renouvelables.

Sans nier l'existence du réchauffement climatique, NATION souhaiterait que les media apportent certaines informations au public, informations de nature à engendrer une vraie réflexion impartiale en connaissance de cause.

Certes, les plus anciens d'entre nous se souviennent de mois de janvier extrêmement froids, en 1956, 1978 et 1985 notamment. Evidemment, même à l'époque la plupart des hivers étaient plutôt doux, mais seuls les plus durs ont marqués notre mémoire. Ceci dit, il est exact de dire que depuis 1990 les hivers très froids ont disparu.

Les médias se gardent bien de dévoiler sur base de quels calculs se fonde l'affirmation selon laquelle nous nous trouvons dans la période la plus chaude depuis le début des mesures.

NATION va donc poser les questions et donner les réponses ! Les spécialistes ont mesuré la température un peu partout dans le monde, en ont fait une moyenne et ont comparé cette moyenne avec celle du passé. Le hic, c'est que dans beaucoup d'endroits il n'y avait jamais eu de prises de mesures et qu'en outre, là où elles avaient quand même été prises, les mesures les plus anciennes ont été effectuées avec des thermomètres qui n'étaient pas régulièrement étalonnés. En résumé, plus on s'enfonce dans le passé et plus la comparaison est hasardeuse, pouvant conduire à une exagération du réchauffement.

En ce qui concerne les glaciers alpins, ils ont énormément fluctué au cours des trois derniers millénaires et sont plus avancés qu'au Moyen-Ãge ou sous l'empire romain.

Des vestiges de ces époques apparaissent d'ailleurs ici et là au gré de leur recul. Il en va de même de la limite de la vigne qui se trouvait alors plus au nord qu'aujourd'hui. Enfin, les événements climatiques extrêmes ne sont pas nouveaux puisqu'en 1934, une vitesse de vent supérieure à 300 km/h a été enregistré aux Etats-Unis et qu'en 1011, le Nil a gelé!

Du point de vue de l'origine anthropique du phénomène, imputée aux émissions de dioxyde de carbone et de méthane, conséquence de la combustion du carbone et des flatulences des bovins(sic), il y aurait lieu d'expliquer comment les incendies de forêt jadis incontrôlé´s et les pets des bisons, aurochs et autres grands mammifères aujourd'hui quasi-disparus ne provoquaient pas le même effet.
Les mesures préconisées laissent quant à  elles pantois : baisser le thermostat excessivement va surtout provoquer l'apparition de mérule et autres moisissures et il n'y a pas assez de main d'oeuvre qualifiée pour isoler tous les bâtiments.

Le recours aux énergies renouvelables, intermittentes, se heurte aux difficultés de stockage de l'électricité et donc de rencontrer les pics de demande en énergie. Elles doivent donc être couplées avec l'énergie nucléaire et avec un agent plus facile à stocker, comme l'hydrogène.
Les médias passent en outre volontiers sous silence le fait que les gaz de combustion peuvent être capturés pour éviter leur émission, moyennant un coût évidemment.

En conclusion, sans nier l'existence du réchauffement climatique, NATION exige que des informations impartiales et complètes soient fournies au public, avec et y compris des pistes claires pour l'avenir.


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