Carte Blanche : Incroyable, en été il fait chaud et en hiver il fait froid !
Lorsque la crainte domine la raison, le peuple devient alors plus docile. C’est pourquoi les régimes européens utilisent tous les médias subventionnés pour diffuser leur propagande et la désinformation dans tous les domaines.
Les « experts » du GIEC donnent des prévisions apocalyptiques.
En Europe, les écologistes et Greta Thunberg dénoncent la responsabilité de l’Homme Blanc comme unique responsable de la pollution atmosphérique par les rejets de CO2 et coupable par conséquence du « réchauffement climatique ». Accusés de voyager en avion, coupables d’utiliser leur voiture, mangeurs de viandes, consommateurs d’énergies fossiles, les Européens en particulier sont cloués au pilori de la bien-pensance et du politiquement correct qui leur interdisent la moindre critique ou opposition aux dogmes sectaires des minorités radicales.
Ces tarés subissent depuis des décennies les thèses des intellectuels issus des universités américaines qui ont sapé les valeurs de notre civilisation européenne, à commencer par les fameux « trous d’ozone », dans les années 1980, qui devaient conduire à la fin de l’humanité sur notre planète. Les couches d’ozone se sont reconstituées naturellement au-dessus des pôles depuis plus de 20 ans.
Mois après mois, on nous raconte que les canicules sont de plus en plus nombreuses et que la température sur Terre ne cesse d’augmenter à cause des activités humaines et surtout en Occident, selon des statistiques observées sur 20 ou 30 ans.
Dans l’espace-temps, ces gourous ignorent le passé de nos ancêtres (de même pour ce qui concerne l’Histoire qui, pour eux, ne commencerait qu’en 1939…) et avec la complicité des médias diffusent aussi des théories fumeuses fondées sur le « Woke ».
Lutter contre l’oubli !
En 1929 il faisait -16° à Strasbourg fin janvier et de fortes chutes de neige affectaient la France début février. Les 12 et 13 février, on relevait -24° à Clermont-Ferrand, -30° dans la plaine de la Limagne. La mer était gelée à Berck et la Saône gelait à Mâcon. Il faisait -17° à Lyon et -13° à Paris.
Du 15 au 23 juillet 1929, on relevait 40° à Toulouse, Orange et Montélimar ; 39° à Lyon et à Paris. Du 26 août au 12 septembre il faisait 35° à Paris et Valenciennes, 36° à Lille, 37° à Châteauroux et 38°à Angoulême.
Le 8 octobre une tornade ravage l’Ile de France avec de gros dégâts à Senlis au et Château de Versailles.
Pour une période plus ancienne, à la fin du Xème siècle, quand les Vikings sont partis pour la découverte de l’Amérique du Nord, ils avaient créé des villes au Groenland (le « Pays Vert ») où une majeure partie était couverte de landes et de forêts.
Les activités du Soleil et Dame Nature ignorent les jérémiades et les piailleries des écolos-bobos-socialauds et déterminent SEULS le climat de notre Planète depuis des millénaires !
Pieter Kerstens
1 commentaire
Jean-Pierre Demol · 9 septembre 2023 à 15 h 05 min
Cher Pieter, je te rejoint bien sûr sur ton avis sur les mensonges et extrapolations à propos du réchauffement climatique et l’alarmisme du GIEC/ONU, et les “escrolos” qui leur sont inféodés.
Je prétends toujours que ces gens ne réfléchissent pas, et pourtant les chiffres sont clairs et sont les mêmes chez les alarmistes que chez les climato-réalistes tels que moi même : L’atmosphère terrestre est composé d’environ 78 % d’azote, 21 % d’oxygène, et le 1 % restant est composé des fameux gaz à effet de serre (GES). Le “GES” le plus important, et minimisé par le GIEC, est et reste la vapeur d’eau, et son interaction avec les nuages, agit bien plus que le CO2, qui vient en second, puis le méthane, la couche d’ozone et quelques petits gaz sans trop d’importance. Dans ce petit 1 %, il y a la part du CO2, qui est de 421 ppm (parties par million), ce qui correspond à 4 molécules de CO2 pour 10.000, soit encore 0,042 % Selon le GIEC, c’est la part anthropique des émissions de CO2 qui dérègle le climat et fait grimper les températures globales de la Terre. Cette part anthropique ne représente pas plus de 10 %, et je suis large, c’est donc une simple petite trace dans 0,042 %, autre “trace” dans l’énorme masse atmosphérique, et cette trace, en toute logique, ne peut faire grimper les températures globales de la surface terrestre, tel que veut le faire croire le GIEC ….