L’ affaire Greta Thunberg en 5 points!

Publié par NATION le

D’où vient-elle ?

Aujourd’hui icône vivante des «combattants» contre le réchauffement climatique de cause anthropique, la jeune Greta Thunberg (atteinte du syndrome d’Asperger, une forme d’autisme détecté lorsqu’elle avait onze ans suite à «un épisode dépressif de huit mois) fait la une de la presse mondiale et pousse la jeunesse à brosser les cours pour manifester.

Elle est la fille de Svante Thunberg, un acteur suédois et activiste dans les mouvements écologiques, mais également dans l’extrême gauche autoproclamée «antifasciste» et de Manela Ernman, une cantatrice d’opéra et activiste dans les mêmes «clubs» que son mari. En été 2018, la jeune Greta alors âgée de 15 ans, «proteste» en s’asseyant devant le Parlement suédois, contre «l’inaction face au changement climatique».

Quelques mois plus tard, elle lance le mouvement de «grève des étudiants pour le climat», ce qui ne manque pas d’enchanter les étudiants et lycéens qui peuvent brosser les cours et passer une journée de rigolade dans la rue…

Mais déjà en 2019, une journaliste suédoise découvre que derrière la jeune Greta, il y a un homme d’affaire qui avait créé un réseau social pour la lutte contre le réchauffement climatique. Il se nomme Ingmar Rentzhog et commence à s’intéresser au cas de Greta, et avec l’accord des parents de la jeune fille, il va «soutenir» ses actions, aider à la publication de deux livres écrits par les parents de Greta qui mettent en scène l’autisme de Greta, mais aussi celui de sa sœur. Il est aidé par une ancienne ministre suédoise et milliardaire, Kristina Persson.

Pas si spontanée que cela

Alors que Greta prétend agir en solitaire, (seuls les frais de ses voyages et de ses hébergements sont «réglés par ses parents») un bug sur Facebook révèle que c’est son père qui écrit ses discours et qui répond sur sa page Facebook, alors qu’elle prétend répondre elle-même : dans la soirée du jeudi 9 janvier 2019 jusqu’au vendredi en matinée, un bug avait momentanément rendu accessible l’identité des personnes qui gèrent les pages de personnalités publiques ou d’entreprises dont la page Facebook de Greta Thunberg.

Il apparaît que les messages et réponses émanant soi-disant de Greta elle-même sont postés depuis le compte de son père Svante Thunberg, mais également du compte d’un écologiste indien, Adarsh Prathap. Les deux hommes sont donc les vrais auteurs des publications attribuées à la jeune fille. Une chose est certaine, c’est que Greta était déjà la marionnette d’un père militant à l’extrême gauche, le discours de la jeune fille étant la copie conforme de celui de son écolo-gauchiste de père.

Qui finance le cirque Greta ?

Greta prétend que ce sont ses parents qui payent ses voyages et ses hébergements. Lors de ses déplacements, elle est souvent accompagnée d’une «amie», toujours la même, d’un petit «staff» et de son père.

Depuis son voyage «écologique» sur un voilier en carbone, elle est également suivie lors de ses déplacements par Nathan Grosman, un réalisateur du groupe «Nordisk Film & TV», qui finance souvent ce genre de voyage dans le but d’en tirer un documentaire. Celui sur Greta Thunberg devrait sortir en 2020… Ce fameux bateau, dont les éléments de construction sont très polluants, est financé par le groupe financier EFG, le Yacht Club de Monaco, une banque Suisse et BMW et si ce sont les parents de Greta qui payent ses tickets de trains pour les voyages internes, c’est avec ce que leur rapporte la manipulation de leur fille. Et puis les sponsors connus derrière Greta, sont suffisamment riches…

Le phénomène Greta a-t-il été crée de toutes pièces ?

En septembre 2019, l’homme d’affaire Ingmar Rentzhog déclare dans une vidéo que c’est lui qui a découvert Greta Thunberg et qu’il a fait la promotion de sa marque avec elle.

En novembre 2019, le groupe de Rentzhog, le «We Don’t Have Time», avait référencé GretaThunberg à 11 reprises dans du matériel promotionnel via un prospectus qui, promettait aux investisseurs que cela pouvait être extrêmement rentable de diffuser des publicités numériques d’entreprises qui souhaitaient être associés à l’activisme climatique… La société avait levé plus d’un million de dollars de financement, rien que pour ce coup de pub ! Bien sûr, les parents de Greta ont juré sur leurs grands dieux gauchistes, n’avoir jamais reçu le moindre dollar pour leur activité ni pour celle de leur fille.

On sait également que le réseau de Rentzhog a entre autre comme actionnaires, IKEA, ou encore des membres de «Leadership Climate Reality» de Al Gore, milliardaire complice du GIEC et de l’alarmisme climatique.

En janvier 2020, l’émission «Envoyé Spécial» de France 2, publie une vidéo ou Rentzhog dit clairement que «sans lui, il n’y aurait pas eu de Greta Thunberg à la COP 24, que ses réseaux sociaux ont été mis à disposition de Greta, trop timide «. Et de conclure : «Oui, on l’a aidée… Comme si elle était quelqu’un de l’équipe, disons…» Tout était dit, il était clair que la campagne médiatique de Greta Thunberg était préparée par des professionnels.

Campagne internationale créée par un réseau tout aussi international

Si Greta Thunberg est l’initiatrice des grèves pour le climat des étudiants et des lycéens dans le monde, cela ne s’est pas fait spontanément puisque ces grèves ont souvent été préparées minutieusement à l’avance dans chaque école et pour cela, il a fallu compter avec le collectif «Youth For Climate».

Par exemple, la grande manifestation «mondiale» du 15 mars 2019, en France, Belgique, Suisse, Autriche, Allemagne, etc, était planifiée et inscrite de longue date dans le calendrier et il en allait de même dans plus de 120 pays (faits rapportés par «Lena», porte parole de Youth For Climate France.).

Ce collectif est né en Belgique, initié par deux jeunes écologistes flamandes, Anuna De Wever et Kyra Gantois. Du côté francophone, elles seront aidée par celle qui se la joue Greta Belge et qui aime se pavaner devant les caméras de télé, Adélaïde Charlier, également militante écologique et fille d’un élu écolo de Jambes, Jean-Christophe Charlier.

Bien que ONG, ce collectif est en réalité initié par la Commission européenne et soutenu par l’ONU via une de ses branches et donc par le GIEC, enfant naturel de l’ONU. C’est d’ailleurs un commissaire européen, Maros Sefcovic, qui a donné le nom de «European Youth For Climate Action». Ce collectif a bénéficié d’une subvention de 340 millions d’euros entre 2018 et 2020. (On peut trouver cela sur le site ec.europa/comission/site….european-youth-climate-action).

Voilà en quelques points, l’imposture Greta Thunberg, pauvre petite fille autiste, honteusement manipulée par des parents dont l’idéologie passe au-dessus du devoir de protection qu’ils ont envers leurs enfants, car entendre Greta, haineuse, interpeller les députés européens avec un «vous avez volé ma jeunesse, je devrais être à l’école, pas ici», sous-entend une manipulation mentale de cet enfant pas comme les autres.

Jean-Pierre Demol


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