Flash actu sur la journée de commémoration de l’esclavagisme ! (VIDEO)

Publié par NATION le

En France mais aussi chez nous, il est dans l’air du temps de culpabiliser les nouvelles générations d’Européens sur l’esclavage commis en Afrique par leurs ancêtres.

Cette culpabilisation et ce procès d’intention envers “l’homme blanc” vise à justifier la politique migratoire du système mondialiste. Ainsi, on leur devrait tout, ils ne nous devraient rien ?

Dans ce Flash Actu, Lucien Coppens de Jeune NATION explique pourquoi  chez NATION, nous dénonçons ce grand mensonge de l’esclavage qui n’est finalement qu’une manipulation de plus des masses populaires européennes.

 


1 commentaire

Lacuson · 14 mai 2018 à 19 h 18 min

L’Oubangui (aussi écrit Ubangi) est une rivière d’Afrique et un affluent majeur du fleuve Congo en Afrique centrale. Elle s’écoule vers l’ouest, formant la frontière entre la République centrafricaine et la République démocratique du Congo.
C’est-à-dire, avant que ces États n’existent, entre les empires coloniaux français d’Afrique Équatoriale Française (Congo Français et Oubangui Chari) et l’immense colonie belge connue sous le nom de Congo Belge.
http://p0.storage.canalblog.com/08/39/1018411/94428109.jpg
Voici une illustration des meurs et coutumes qu’y découvrirent les ‘’affreux colonisateurs’’, tant belges que français, et qui est extraite des carnets d’un explorateur contemporain et d’un autre article ‘’l’exploitation de la culpabilité des Européens’’ à lire en intégralité également :

« Un “Révérend Père” a visité, en septembre dernier, des villages de la rive droite de l’Oubangui (limite du Congo français), et voici le récit de ce qu’il a vu :
« On amène des esclaves sur le marché, et celui qui ne peut pas se payer le luxe d’un esclave entier achète seulement un membre qu’il choisit à son goût. S’il choisit le bras, le client fait une marque longitudinale avec une sorte de craie blanche, et le propriétaire attend qu’un autre client choisisse un autre bras et lui fasse la même marque. Chacun choisit ainsi les bras, les jambes, la poitrine, etc. ; et lorsque tous les membres ont été marqués, on coupe tout simplement la tête du pauvre esclave, qui est immédiatement dévoré sur place. »

http://eurolibertes.com/societe/lexploitation-de-culpabilite-europeens/

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