Résumé de la situation des partis politiques du pays en ce (presque printemps) 2018 ?

Publié par NATION le

On ne peut d’abord que constater que la frontière linguistique semble aussi être une frontière idéologique vu que le clivage apparaît de plus en plus grand entre une Flandre qui vote conservateur dans sa grande majorité : NVA et VB comptés ensemble font plus de 40% des voix ! Et une Wallonie bien plus à gauche : le PS-PTB font ensemble également plus de 40% des voix.

Au niveau fédéral, à coups de chiffes économiques bidouillés et d’une communication où ils jouent aux « faux durs » en matière d’immigration, le couple MR-NVA donne l’impression que sa politique porte ses fruits.

A gauche, le PS semble reprendre des couleurs dans les sondages grâce principalement à deux facteurs :

  1. le PTB passe soudainement beaucoup moins dans les médias
  2. le PS fait jouer à plein son maillage social de la société, ses réseaux, son clientélisme et son lobbying pour obtenir le vote communautaire d’une partie de la population d’origine immigrée.

Du côté des populistes, le PP connait de gros problèmes internes (dont les détails circulent largement sur le net, suite à des fuites à répétition) mais a aussi de sérieux problèmes judiciaires puisque son président est dans le collimateur d’une enquête initiée suite à un audit catastrophique des finances de l’asbl du parti européen dont le PP fait partie…

Pour l’instant, l’approche des élections et les espoirs de certains font que le PP arrive encore à garder une fragile cohésion. Mais gageons que les résultats qui seront obtenus le 14 octobre prochain seront déterminants pour la survie même du PP.

Côté populiste, il y aussi une très virtuelle formation intitulée Droite citoyenne dont la principale activité consiste à torpiller le PP par la diffusion d’infos sur les problèmes internes de celui-ci… Mais une récente confirmation de la condamnation du président de ce parti pour plusieurs faits d’escroquerie fait un peu désordre. Fait que certains médias ont rapporté, profitant sans nul doute d’une fuite organisée par le PP concurrent.

A la lecture de ce bilan, vous comprendrez à quel point il est indispensable qu’il existe une alternative identitaire et solidariste comme NATION. Et qu’il est important de la rejoindre et/ou de la soutenir.

Quant aux bourgeois d’esprit[1] qui disent vouloir « sauver la Belgique » mais sans se salir leurs délicates petites mains et qui vous parleront, souvent sans vraiment connaître, de la « mauvaise image de NATION » ; nous leur répondrons que nous préférerons toujours avoir l’image même forcément incomplète et injuste « d’activistes radicaux » que d’avoir l’image de voleurs et/ou d’incompétents.

Contre le système et ses partis (y compris populistes), NATION est en marche !

 

[1] Ce n’est pas le statut social de bourgeois qui est le problème. Le problème vient des bourgeois de l’esprit ».

 


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