Interview de Résistance Verte (les anti-escrologistes) !

Publié par NATION le

Résistance Verte est au sein de NATION, une structure qui défend la vraie écologie, identitaire, liée à la défense de notre terre mais aussi de notre peuple et de nos manières de vivre.

Cette association combat évidemment les écolos de gauche qui manipulent le concept idéologique afin d’imposer leurs délires gauchistes, et qui méritent largement le surnom de “escrologistes”, tel que la vraie Résistance Verte les nomme !

Vous trouverez ci-joint, une interview longue mais passionnante de Esteban, un responsable de cette structure, ainsi que des photos et une vidéo illustrant leurs actions.

Résistance Verte s’est créée au sein de NATION, pourquoi une telle structure ?

Résistance Verte est née de l’idée selon laquelle la défense de l’identité et le solidarisme sont tous deux intimement liés à la Nature. L’écologie, c’est avant tout la préservation d’un environnement qui nous a vu naître et que nous transmettons aux générations futures ; d’une richesse dont nous avons héritée et que nous entendons protéger pour l’avenir de nos enfants. L’écologie est par essence identitaire ─ c’est la raison pour laquelle nos jeunes Résistants multiplient les actions écologiques dans les cités et villages de Wallonie.

 En quoi le nationalisme et l’identitarisme peuvent-ils constituer une solution au problème écologique ?

Le problème est que la gauche a fait de l’écologie, une « escrologie » gauchiste et multiculturaliste. L’écologie défendue par NATION et Résistance Verte est une écologie sociale et identitaire. Il faut arrêter de dire que les seuls responsables des problèmes de ce type sont les citoyens européens. On sait bien que les premiers responsables en sont les USA, la Chine et l’Inde puisque à eux seuls, ils produisent 70% des émissions de CO2 au monde. Et ils sont tout autant pollueurs des mers et des océans. Notre économie locale est un rempart à l’effacement de nos particularités régionales.

Comment lutteriez-vous contre l’immigration potentiellement causée par la crise climatique ?

Il faut bien entendu essayer d’éviter cette crise climatique. Mais ce n’est pas en cherchant des poux au public consommateur qu’on y arrivera. Mais bien en agissant contre ceux qui créent un vrai problème pollueur à de multiples niveaux : les multinationales et certains pays.

Au niveau de l’immigration, qu’elle soit causée par une crise climatique ou par une des guerres provoquées par l’impérialisme oui par une simple recherche de facilité économique, il faut la gérer de la manière suivante : recréer pour nos pays des frontières étanches, faire une différence entre ceux qui viennent à cause de vrais problèmes et ceux qui viennent juste profiter du système, limiter en nombre et en temps la présence de vrais réfugiés. Pour le reste, il faut lancer un message clair, et par des mesures précises, que nous ne savons pas et ne voulons pas accueillir la misère du monde entier.

Le multiculturalisme est un échec et mène l’Europe à la guerre civile. L’immigration de masse met en péril notre civilisation et l’avenir de notre peuple. La “remigration” est la seule solution pour éviter un embrasement général.

L’écologie mérite mieux que les bêtises qu’on raconte en son nom ! Trop souvent, certains discours écologistes relaient des approximations voire des erreurs, et défendent parfois des partis-pris idéologiques très discutables. Et ce n’est pas très bon pour la crédibilité de l’écologie en général.

L’écologie est une invitation à la cohérence. Il est invraisemblable que certains “écologistes” proclament le droit à la préservation des peuples autochtones d’Amazonie tout en prônant l’ouverture totale des frontières pour les peuples occidentaux. Le no-borderisme, tout comme la surenchère sociétale, sont incompatibles avec une écologie authentique.

L’urgence écologique n’est pas une raison pour que certains de ses partisans en profitent pour dire n’importe quoi ! Et si on utilisait les sommes astronomiques, dépensées pour la gestion de l’immigration (et notamment le coût des milliers de migrants illégaux), pour l’écologie ? Nous pourrions, par exemple, subordonner les rapatriements à des fonds destinés à l’action climatique. Ainsi, quiconque rapatrie ses compatriotes reçoit un soutien, par exemple, pour la production de carburants neutres pour le climat destinés aux automobilistes belges, cela serait « mutuellement bénéfique ».

Nous avons une quarantaine de propositions à ce sujet. Nous vous invitons à consulter le site internet du Mouvement NATION pour en savoir plus.

Une politique profondément écologique induirait un changement de comportement important chez le consommateur : comment y arriver ?

Cela dépend ce que vous appelez « une politique profondément écologique »… Si c’est celle qui est proposée par nos nouvelles « élites », il suffira d’en faire le sujet essentiel dans les médias, histoire de faire oublier que les peuples européens, s’ils risquent en effet de disparaître, ce n’est pas forcément ou en tous cas pas uniquement, à cause de la question climatique… Nos écologistes de pacotille feront aussi en sorte que les « pigeons » européens acceptent de payer plein de choses bien plus chères (comme les voitures) sous prétexte de sauver la planète. Montants qu’ils paieront d’ailleurs en faveur des  multinationales qui sont en grande partie les responsables de la pollution…

Ceci dit, la seule vraie manière pour les gens de suivre une politique défendant la vraie écologie est simplement d’essayer de sortir de la mentalité matérialiste que les médias et nos dirigeants développent en Europe, depuis plus de 70 ans. Il faut tout simplement ne plus se laisser soumettre par les multinationales et le monde publicitaire. Il faut évacuer du pouvoir, la classe dirigeante des partis traditionnels, qui sont les pires ordures polluantes.  Bref, il faut changer ce monde matérialiste,  universaliste et chaotique et le remplacer par un monde avec des valeurs et un ordre naturel. Bref, celui que les nationalistes défendent.

Nous défendons la complémentarité entre tous les moyens de mobilité et leur développement harmonieux. Nous nous opposons à toute nouvelle taxe sur les véhicules et le trafic routier. Nous disons OUI au rail et voulons encourager la mobilité douce dans notre pays. Nous aimons nos villes et nos quartiers. Nous voulons créer des zones piétonnes et des transports publics efficaces, peu polluants et avantageux financièrement pour les citoyens. Les services publics doivent appartenir à la collectivité et être complètement sorti du monde du mercantilisme et du profit ! 

Il faut respecter et protéger la nature qui est en cours de destruction, entre autres, par la pollution engendrée par les moyens de productions de certaines multinationales.

Il faut penser à la protection de la faune et de la flore :

  • Maintien de l’équilibre biologique
  • Protéger et étendre les zones vertes
  • Création avec les scientifiques et opérateurs du secteur d’un plan de sauvetage des abeilles
  • Lutte efficace contre les quartiers abandonnés
  • A chaque appel d’offres pour un marché public : il faudra ajouter de stricts critères environnementaux

Il faut repenser l’urbanisme :

  • Assurer une architecture harmonieuse et conforme à l’identité de chaque quartier
  • Meilleur optimalisation des surfaces constructibles. Il faut éviter l’étalement afin de protéger nos terres agricoles mais également une meilleure cohérence en matière de mobilité
  • Condamnation pénale sévère pour les pollueurs, y inclure les pollueurs urbains (tagueurs)
  • Promotion des énergies alternatives moins ou non-polluantes
  • Arrêt de toutes taxations pour les gens qui ont installé à leur domicile des systèmes de production d’énergie alternative
  • Subsidier des recherches en matière d’énergie alternative
  • Protéger et étendre les zones vertes
  • Simplification mais aussi stricte application des règles d’urbanisme
  • Augmentation des contrôleurs sur le terrain
  • Prévoir de lourdes amendes, la réquisition ou même la destruction du “bien” en cas de constructions illégales
  • Création d’un service de police de l’urbanisme et du logement
  • Régularisation des infrastructures souterraines
  • Établissement de plans précis des conduites souterraines existantes et en particulier, celles de gaz. Et ainsi éviter des catastrophes, telle que celle de Ghislenghien. Ces plans devront bien entendu être mis régulièrement à jour.

Il faut défendre la nature :

  • Condamnation pénale dissuasive pour les pollueurs
  • Contrôles accrus des épandages
  • Contrôle de l’emploi des pesticides
  • Création de zone franche de manière à protéger nos abeilles, les eaux souterraines, certains insectes et plantes…
  • Les zones NATURA 2000 seront davantage développées et chaque propriétaire des zones protégées sera soumis à un contrat de gestion.
  • Encourager les énergies alternatives non-polluantes
  • Diminution des taxes et de la TVA sur l’achat de véhicules non-polluants.
  • Développer des pôles locaux de compétitivité (clusters) : c’est-à-dire des régions où s’accumulent des savoir-faire dans un domaine technique
  • Développer les entreprises du secteur et de recherche afin de générer un véritable pôle dynamique dans les nouvelles technologies et donc des produits de hautes valeurs ajoutées
  • Etude impartiale sur l’efficacité réelle et les inconvénients des éoliennes
  • Contrôle accru de tous les aspects financiers liés aux éoliennes
  • Les éoliennes seront financées par l’argent public et jamais par des groupes privés
  • Tendre à aller vers les négawatts (diminution de la consommation) par la rénovation du parc immobilier existant, par de nouvelles constructions, par l’émission zéro,…)
  • Moins polluer en essayant de réduire les consommations superflues et avoir un habitat plus performant à ce niveau-là
  • Maintien des centrales nucléaires tout en multipliant la recherche et le développement d’alternatives
  • Encourager l’utilisation du LPG par une diminution des taxes de circulation et de la TVA sur l’achat de véhicules équipés au LPG

En quoi votre approche de la question écologique diffère-elle fondamentalement de celle de certains partis de gauche (PTB, Ecolo, PS) ?

C’est qu’au niveau de ce sujet (mais d’autres aussi), ils méritent bien la dénomination d’escrologues. Ils utilisent le concept idéologique car ils le sentent populaires auprès des populations européennes. Notons d’ailleurs que ce concept a bien moins d’intérêt auprès des populations d’origine immigrée.

La meilleure preuve de cette hypocrisie est pour le PTB, qu’on ne l’a jamais à l’époque (le PTB est déjà un vieux parti) entendu dénoncer les dérives non-écologiques de ces anciens patrons de l’URSS ; pour le PS que cela ne le gêne pas d’être la carpette des forces de l’argent et de nombreuses multinationales; et qu’ECOLO défend bien plus une version chaotique, laxiste et gauchiste de la société qu’une défense de la vraie écologie. Ils sont des sorte de radicaux, de khmers verts…D’ailleurs souvent incompétent à gérer les villes et la mobilité comme on a pu le constater avec le lamentable plan « Good move »

Ecologiste, sécuritaire et identitaire. Trois mots qui résument ce que nous sommes. La question de l’écologisme n’appartient en rien à la gauche, encore moins aux seuls écologistes, qui en proposent souvent une lecture sectaire.

Les identitaires ont toujours défendu une vision de l’écologie enracinée, respectueuse des peuples et des traditions, seule à même de permettre l’émergence d’une véritable « civilisation écologique ».

Elle est tout le contraire de l’agitation déstructurée d’une Greta Thunberg qui mêle à la lutte contre le réchauffement climatique un antiracisme tendance indigéniste et le combat contre le «patriarcat».

 Notre conception politique de l’écologie se fait au national. La nation est historiquement la seule échelle décisionnelle de protection du peuple et du territoire. Nous entendons dépasser le stade purement défensif et “réactionnel” de l’écologie contemporaine, qui en tant que simple mouvement d’action défensive sert trop souvent de support idéologique à des programmes politiques gaucho-mondialistes ou libéraux-sociaux. Ces tenants du Système considèrent la nature comme un simple cadre de vie et d’environnement constituant l’accessoire agréable et utile à notre civilisation du béton.

Face aux déconstructeurs, face aux mondialistes hors-sol : pour une écologie enracinée ! Tout le monde, même dans la bien-pensance, se rend bien compte que les idées patriotes et identitaires se répandent de plus en plus dans la société et qu’il faudra bien finir par en tenir compte


1 commentaire

DANIEL André BEAUCHE · 6 septembre 2023 à 6 h 12 min

plus on sera . plus ca ira

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