La mémoire politiquement correcte est à géométrie variable!

Publié par NATION le

Il y a un peu plus d’un an, une demande de rebaptiser une rue de la commune de Schaerbeek a été faite par la fille d’une famille de Belgo-Marocains dont les parents avaient été abattus, il y a 20 ans, par un voisin qui avait des sympathies pour «l’extrême-droite».

Mais la mémoire des médias et des autorités est  très sélective. Le Mouvement NATION, lui, se souvient de Bruno Togni. En février 1982 à Schaerbeek aussi, lors d’une soirée dansante, un jeune scout Bruno Togni a été sauvagement et brutalement assassiné par une bande de racailles qui sévissait déjà à l’époque dans la plus grande indifférence des politiciens qui s’en accommodaient fort bien.

Seul le Mouvement NATION s’en souvient et veut rappeler que c’est bien Bruno Togni qui fut la première victime à Schaerbeek du racisme le plus présent de nos jours dans nos villes : le racisme anti-belge !

Mais cela ne semble pas assez important pour que des politiciens pensent à donner le nom de cette victime-là à une de nos rues.

Guy Vandenkerckhoven


2 commentaires

serge ALGOET · 16 juillet 2022 à 10 h 21 min

Evidement ! Les Belges n’ont aucune importance pour les autorités et les médias ! Le racisme anti-belge n’existe pas selon eux ! Honneur à nos martyrs !

kerstens pieter · 16 juillet 2022 à 13 h 40 min

Et même le bourgmestre de Schaerbeek à l’époque, Roger Nols (l’artisan des “guichets” séparés pour Flamands), n’a pas eu le courage de baptiser une place, un carrefour, un square ou une rue du nom de “Bruno Togni”. Pourriticard de 1ère classe, Nols est retourné dans les poubelles de l’Histoire.

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