L’Italie se réveille-t-elle ?

Publié par NATION le

Des élections générales doivent se dérouler le 4 mars prochain en Italie. Et le moins que l’on puisse dire est que cette campagne électorale est très particulière.

Tout d’abord de par la dimension identitaire importante de celle-ci. En effet, l’invasion migratoire et le problème sécuritaire qu’elle génère est très mal vécue par la population italienne. La récente fusillade contre des ressortissants nigériens, faisant suite au meurtre particulièrement ignoble d’une italienne, en est le dernier et tragique exemple.

Ensuite de par la place qu’y tiennent les nationalistes. En effet, deux partis ouvertement nationalistes y présenteront des listes : Forza Nuova et Casapound. Mais de plus, ces partis sont au centre de l’actualité de par leur activisme. Quasiment pas un jour ne passe sans un article de la grand presse parlant des uns ou des autres. Et se lamentant sur des sondages qui donnent les nationalistes aux portes de certaines assemblées.

Enfin de par sa violence. En effet, l’essor des nationalistes provoque une réaction de l’état italien qui essaie de le réprimer et qui, pour cela, utilise comme d’habitude ses supplétifs d’extrême-gauche pour essayer de contrer les nationalistes. Et en effet les violences gauchistes (allant jusqu’à des attentats à la bombe) se sont multipliées depuis ces dernières semaines, au point que certains parlent du retour d’une stratégie de la tension.

Et quels sont donc les enseignements à en tirer ?

Tout d’abord qu’il ne faut pas avoir peur d’assumer ce que nous sommes. Sans excès ni provocation gratuite, ni passéisme bien sûr. Mais au plus les choses s’aggraveront, au plus les gens chercheront des formations politiques qui parlent vrai et qui sont bien décidées à ne pas faire dans la demi-mesure.

Tout ceci nous confirme aussi dans l’idée que désespérer n’est jamais la solution Voici à peine quelques années, des camarades italiens nous disaient leur scepticisme par rapport à la voie électorale. Aujourd’hui, on ne parle d’eux car ils sont justement cette fois au centre de ce processus électoral.

Tout ceci démontre aussi que la persévérance et la fidélité, à terme ça paie…Car quoi que seront les résultats officiels de ces prochaines élections, personne ne niera qu’en tous les cas en Italie, et nous l’espérons aussi dans toute l’Europe, le temps des radicaux est venu !

 

Les militants de Forza Nuova et leur président, Roberto Fiore, confrontés à la police.


3 commentaires

Demol Jean-Pierre · 14 février 2018 à 10 h 12 min

Pour “iam-black-too@gmx.de C’est très gentil de nous envoyer vos insultes, nous voyons là, la grande disposition qu’ont les gens comme vous à argumenter les choses qui n’entrent pas dans leur façon de penser .
Lorsque l’on montre comme vous, un grand courage en insultant anonymement, laissez au moins une vraie adresse mail que l’on puisse vous répondre . A moins bien sur, que votre bassesse ne soit que l’expression de votre lâcheté …

Alberto Da Giussano · 18 février 2018 à 12 h 36 min

Tout d’abord vous préciser que je suis italien (du nord – Province de Bergamo) sympathisant de Forza Nuova et que le 4 mars 2018 n’ayant pas la chance d’avoir de candidats Forza Nuova ou CasaPound dans ma circonscription (Estero Europa, Russia, Turchia) je voterais au plus près de mes idées (pas vraiment possible de constituer partout des listes nationalistes en Italie puisque forcément ‘’Fascistes’’ … c’est bien connu) pour la liste d’alliance de la Lega de Matteo Salvini, de Fratelli d’Italia de Giorgia Melloni et de … Forza Italia de Berlusconi (en faisant la grimace pour celle-ci).

Nous sommes à coup sûr comme ces sujets de l’Empire Romain de l’an 476 qui, comme nous tous ici, avaient trop ‘’la tête dans le guidon’’ de leurs soucis quotidiens pour réaliser qu’ils venaient de vivre en l’année qui restera comme celle de la fin d’un monde … :
Les élections qui vont se dérouler en Italie le 4 mars 2018 SONT CELLES DE LA DERNIÈRE CHANCE !

Dernière chance pour l’Italie elle-même bien sûr si elle suit les voies funestes de la france macroniste (pas de majuscule, c’est voulu), des pays-bas, de la Belgique (?), de la grande-bretagne … ou, la pire d’entre toutes, de la suède !
L’Italie est située à la fois à l’épicentre du monde européen et sur son axe de basculement entre des Nations restés vivantes et saines à l’est … et de celles (déjà mortes ?) à l’ouest.
L’on ne voit que Soros et la funeste Merkel comme responsables de l’invasion migratoire planifiée de l’Europe …
C’est oublier que les ‘’élites italiennes’’ de la gôche à la fausse droite (libéraux et autres) sont au moins aussi responsables et coupables (si ce n’est bien plus !) qu’eux : les Renzi, Gentilloni, Matarella, Napolitano, Boldrini, Alfano, Casini, Draghi, Mogherini, … et même Grillo !
Face à ces sinistres assassins des peuples et Nations européennes seuls quelques partis se sont dressés.
En tout premier lieux Forza Nuova et CasaPound bien entendu !
(Mais, pour l’instant, avec de bien maigres chances de dépasser des scores de témoignages malheureusement).
Et puis donc la Lega, menée par l’excellent Salvini (qui a de sérieuses chances de l’emporter !) avec pour alliés Fratelli d’Italia de la bouillante Giorgia Melloni et … la planche pourrie du Forza Italia de l’insubmersible Berlusconi (il faut bien faire preuve de pragmatisme électoral).
Si ces mouvements n’arrivent pas à vaincre cette ultime bataille … c’en sera fini !
Non seulement de l’Italie bien sûr, mais surement de l’Europe occidentale aussi !

Et je me dois aussi de vous parler ici d’une autre menace, bien plus mortifère encore, qui est en cours d’aboutir depuis l’Italie où elle se construit (au Vatican plus précisément) :
– Quand Benoit XVI sera décédé (ne pas pour autant s’illusionner sur ce Pape qui est dans la droite ligne des successeurs de Jean XXIII … un pur produit de Vatican II dont il reste un des plus zélé théoricien) et que l’immonde anti Christ Bergoglio assumera seul la charge des successeurs au siège de Saint Pierre :
S’en sera surement fini d’une Chrétienté que seule la Parousie aurait pu ressusciter !

* Posté depuis Bergamo (et surtout pas d’un Vatican qui est devenu le siège de l’anti Christ), Lombardie, Italie où vont donc se dérouler le 4 mars 2018 des élections cruciales qui, je l’espère, seront le premier coup de glaive de l’archange Saint Michel !

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