Mondialisation : le pillage silencieux de notre Pays!

Publié par NATION le

Les faits

Un milliardaire étranger, Xavier Niel, a récemment tenté de prendre le contrôle de Proximus, notre opérateur national pourtant détenu majoritairement par l’État belge.

Son “deal” ? L’État garderait une façade d’actionnaire majoritaire. Mais Niel obtiendrait le vrai pouvoir : nommer le CEO, définir la stratégie et décider de l’avenir de l’entreprise.

Le symbole

Ce projet est un cas d’école de la mondialisation contemporaine. Plus besoin d’envahir un pays :
les puissances économiques achètent nos entreprises, nos infrastructures, nos biens communs, sous couvert d’“investissement” et de “coopération”.

Ce qui est en jeu

Proximus, ce n’est pas qu’une société cotée en bourse.
C’est :

  • notre réseau national de communication
  • un pilier de notre souveraineté numérique
  • un symbole de notre indépendance économique.

Permettre à un acteur étranger de contrôler un tel outil stratégique, c’est accepter de céder un morceau de notre souveraineté.

Le constat

Depuis 30 ans, la mondialisation nous promet efficacité et prospérité.
Mais en réalité, elle laisse derrière elle :

  • des États affaiblis
  • des entreprises dénationalisées
  • et des peuples transformés en consommateurs dépendants.

Notre volonté

La Belgique ne doit pas devenir un terrain de chasse pour les puissances économiques étrangères. La mondialisation n’est pas un échange équitable — c’est un pillage déguisé en partenariat.

Il est temps de dire NON !

  • NON à la vente de nos infrastructures !
  • NON à la dépendance !
  • NON à la marchandisation de notre souveraineté !


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