La gauche est et reste l’ennemi de la liberté !

Voici de nombreuses années, lorsque les partis « d’extrême-droite » se mirent à monter sur un plan électoral un peu partout en Europe, les gauchistes se mirent déjà à utiliser la violence. Mais ils s’en justifiaient en disant que c’était une réaction normale contre les « dangers du fascisme » mais que pour tout le reste, ils restaient des démocrates.

Ces derniers temps, ils démontrent qu’il n’en était rien et que les gauchistes ne sont pas juste opposés au nationalisme. Ils sont bien opposés à tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Comme ce fut le cas tout au long de l’histoire.

Voici quelques semaines, le parti MR en a fait les frais avec ses militants  agressés par des « antifa » dans les rues de Liège.

Sans compter les menaces de mort contre le président du MR Georges Louis Bouchez. Menaces dont le socialiste Elio Di Rupo a eu l’air de dire que la victime les avait un peu cherchées.

Encore plus récemment, une présentation littéraire de Raphaël Enthoven a dû être annulée suite à une contre-manifestation des antifa. Or la présentation n’évoquait aucun sujet politique. Mais l’intéressé, pourtant plutôt gauche caviar, avait osé déplaire aux antifa par certaines déclarations.

Et toujours dans le même cadre est apparu sur un des sites antifa, la liste des nouveaux « hérétiques » de la bien-pensance que les antifa considèrent presque comme des aides de la droite extrême :

• Un animateur de la mouvance pro-israélienne
• Un politologue et historien, spécialiste de l’historique de la Shoah
• Une essayiste et polémiste française, militante féministe et pour les droits des homosexuels, militante anti-extrême-droite
• Une ancienne du collectif antifa “Résistances” et ancienne membre du parti Ecolo, elle est devenue une défenseuse de la laïcité et une farouche opposante à l’islamisme. Elle travaille aujourd’hui pour le parti libéral MR.
• Une journaliste dont un des parents est d’origine immigrée et qui a écrit un essai par lequel elle dresse le constat que l’antisémitisme a changé de visage et serait aujourd’hui très présent dans des collectifs pro-palestiniens et chez certains militants « woke » gauchistes.

Vu le profil de toutes ces nouvelles « cibles » des antifa, on se demande ce qui arriverait si des nationalistes publiaient une telle liste avec ces noms et avec des commentaires peu sympathiques ? Mais il semble que dans la bien gauchiste Belgique,  les antifa puissent tout se permettre, y compris envers leurs anciens « compagnons de route ».