Les identitaires de NATION agissent dans le Schaerbeek que certains voudraient multiculturel!

Ce samedi 10 décembre à Schaerbeek, alors que cette commune s’attendait comme dans les jours précédents à des incidents liés aux matchs du Maroc, NATION a préféré y faire quelque chose de plus intéressant.

A savoir, se souvenir des nombreuses victimes belges d’une violence et d’une insécurité qui n’est que grandissante à Schaerbeek, mais aussi dans de très nombreuses villes de ce pays.

Pour cela, NATION a organisé un rassemblement symbolique mais plein de dignité à l’endroit où un jeune scout de presque 18 ans, Bruno Togni, fut assassiné par une bande de racailles en 1982. Ce crime étant quelque part le premier d’une longue et pénible série de morts survenues dans la même commune et liées à l’insécurité.

Nous avons par exemple aussi cité les noms suivants, et qui ne sont que quelques exemples parmi d’autres :

• Serge Dauginet, gendarme des unités A.B.T assassiné en service à la gare du Nord en 1988
• Patrick Mombaerts, électricien tué à coups de barres de fer près de la gare de Schaerbeek en 1998
• Thomas Montjoie, le policier assassiné voici quelques semaines, par un islamiste près de la gare du Nord (encore elle)

Les militants de NATION n’ont pas hésité à montrer,  de par leur couleur de drapeau,  qu’ils restaient des identitaires convaincus face à des autorités locales qui font tout pour remplacer le Schaerbeek traditionnel et bruxellois, par le foutoir que représente le concept multiculturel.

Jean-Pierre Demol (président d’honneur de NATION), Guy Vandekerckhove (responsable NATION-Bruxelles) et Ann Franquet (présidente de NATION) ont pris la parole, avant de procéder à un dépôt de fleurs.