Nos cadres locaux : Dany, pour le Brabant wallon!
Une des forces de NATION est d’avoir toujours essayé d’être au plus proche des gens et donc de constituer des noyaux locaux et des sections, un peu partout dans le pays. Nous avons demandé à certains de ces cadres locaux de brièvement se présenter. Vous trouverez aussi leur adresse e-mail, si vous désirez vous engager dans votre région. Si NATION n’est toujours pas représenté dans votre région et que vous vous sentez de taille à relever le défi de créer un noyau local, faites le nous savoir via secretariat@nation.be
Nous allons publier ces interviews par région, vous pourrez retrouver l’ensemble des interviews regroupées ICI
Présentez-vous sur un plan personnel et politique
Titulaire d’une maîtrise en informatique de gestion et originaire du Hainaut, j’ai saisi une opportunité professionnelle qui m’a permis de m’ancrer au sein du Brabant Wallon, province dont je suis actuellement responsable local. J’en suis venu à militer au sein du mouvement parce qu’il m’était devenu impossible de rester les bras croisés devant ce que Renaud Camus appelle le crime contre l’humanité du XXIè siècle : la substitution de population, le renversement ethnique, le Grand Remplacement. Pourquoi NATION plutôt qu’un autre mouvement ? Parce que la lutte que nous menons s’ancre dans le cadre d’une révolution globale et d’un changement de paradigme nécessaire à l’évolution de la société : nous luttons pour la justice sociale autant que pour la liberté ; pour notre souveraineté autant que pour le Bien Commun. A ceux qui préconisent « l’union des droites », nous répondons : « Ni gauche, ni droite : nationaliste ! »
Comment est vécu le confinement dans votre région ?
Certaines villes de notre province comme Wavre et Ottignes-Louvain-La-Neuve ont pris des dispositions spéciales et conseillent très vivement aux habitants de ne sortir que couverts de gants et de masques pour éviter la contagion du virus. D’après mon expérience, même si le confinement est globalement respecté, il n’est pas rare de croiser des gens dans les commerces ou à la poste qui outrepassent totalement ces prérogatives et agissent comme si de rien n’était. Même si les communes ne sont pas totalement à l’arrêt, nous notons un ralentissement évident de l’activité économique et certaines villes comme Louvain-La-Neuve dont l’activité vient essentiellement des bars étudiants et des restaurants, font face à des semaines très difficiles. Nous pensons particulièrement à tous ces indépendants obligés de fermer leurs commerces, à toutes ces entreprises en faillite autant qu’aux sdf qui vivent un véritable calvaire depuis le début du confinement.
Comment voyez-vous le développement local de NATION dans l’avenir ?
La situation que nous subissons actuellement est unique et nul ne peut en saisir l’ensemble des conséquences qui frapperont notre pays dans les prochains mois. Un mouvement tel que NATION a encore tout son sens car même si nous sommes confinés et ne pouvons manifester comme à notre habitude, le réseau continue à se développer et la solidarité qui naît de ces périodes de troubles n’en est que renforcée. C’est dans les cas d’urgence que l’on se rend compte de l’utilité d’intégrer un réseau communautaire. L’alternative solidariste que nous proposons dépasse de loin les antagonismes de classes car nous œuvrons pour que la nation tout entière se dresse ; que chaque individu puisse apporter son aide à ses frères et à ses sœurs qui se trouvent dans une situation pire que la sienne. Tout le monde peut participer à ce processus car la nation ne divise pas : elle unit !
Avez-vous un message pour les membres et sympathisants de NATION ?
Profitez de cette situation impromptue pour resserrer les liens avec vos proches et je pense surtout à vos familles ; gardez contact avec vos amis, avec vos camarades, et surtout gardez toujours espoir ! Le ciel est sombre mais de l’obscurité de la nuit surgit inéluctablement le soleil, symbole d’espoir et de renaissance. Notre jour viendra ! Sol Invictus !
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