La mort du PP : espoir d’une renaissance patriote ?

Publié par NATION le

Le Parti Populaire n’a même pas attendu le mois de septembre, comme initialement prévu, et a décidé de se faire hara-kiri et de s’auto-dissoudre au plus vite.

La situation politique du pays fait que nous éviterons de manifester une satisfaction qui ne serait pas de bon aloi en rapport aux nombreux honnêtes gens qui ont voulu croire en cette démarche et qui, malheureusement, n’ont pas écouté nos nombreux avertissements.

Quoi qu’il en soit, le Mouvement NATION espère que cette dissolution permettra de pouvoir dialoguer sérieusement avec la tendance plus identitaire de ce parti aujourd’hui officiellement disparu.

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4 commentaires

David · 19 juin 2019 à 19 h 28 min

Ils auraient pu faire ça avant les élections!

Que de temps perdu.

    Horizon · 20 juin 2019 à 11 h 13 min

    A moins que cela n’ait été une tactique pour diviser un peu plus l’opposition…

Horizon · 19 juin 2019 à 21 h 16 min

Quelque chose me dit que la liste Destexhe ne survivra pas non plus, même si son agonie sera probablement un peu plus longue. Cette liste portait le germe de sa perte dans son programme…
Se déclarer farouchement pro-U.E tout en promettant de mettre de l’ordre dans l’immigration me fait penser à l’ancienne formule : «Demain, on rase gratis.»
Cela dit, avant le 26 mai, je me suis pas mal documenté sur les petits partis s’annonçant «de droite». Leurs seuls points communs : ils ont tous bu le bouillon, l’essentiel de leur programme (?) consistant à dénigrer les autres…
En conséquence de quoi, je ne vois pas comment ils pourraient s’accorder pour travailler ensemble…
Je m’en voudrais d’être vulgaire, mais il me semble que nous sommes un peu dans la m…
H.

Le Ket · 20 juin 2019 à 15 h 40 min

Mais bien sûr que SI , il faut se réjouir de la disparition du PP, réelle imposture électorale que le sieur Modrikamen avait créée dans le but de ralier les plaignants du dossier Fortis…
Cocus au départ, ils sont toujours cocus à l’arrivée, 6 ans plus tard , sans doctrine, sans idéologie et sans idéal ou convictions, si ce n’est, pour les têtes de listes, celle d’être élus avec de confortables indemnités…

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