Chez ECOLO, tout est bon pour faire leur propagande !
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Les mensonges des écologistes de Vaudeville, commencent à dépasser les bornes, et sur de nombreux sujets. Ici, NATION dénonce le fait que les Écolos et autres “climato-alarmistes”, se servent des récentes inondations et des victimes qu’elles ont occasionné, pour faire encore une fois, de la communication mensongère sur la réalité des catastrophes naturelles. Avec l’aide bienveillante des médias, le plus souvent de la même couleur politique, cette faune honteuse de militants écologistes de pacotille, croit légitime de présenter une telle catastrophe naturelle, comme “relevant du changement climatique”, et en affirmant même, “que ce type d’événement se multipliera à l’avenir.”
Qu’en est-il en réalité ?
Ces inondations sont dues à un phénomène météorologique appelé “goutte froide” (une dépression isolée associée à de l’air froid en altitude), et qui pour être exceptionnel, n’est certainement pas sans précédent. Un exemple : en 1804, le débordement de la rivière Ahr avait fait 64 morts, et en 1910, 57 morts, au point que sauf un, tous les ponts avaient dû être reconstruits. Et si vous piochez dans l’histoire des catastrophes météorologiques avec de grandes inondations, vous trouverez bien d’autres catastrophes similaires.
Même le GIEC/IPCC, nouveau saint des militants écolos et climatiques, estime dans son 5e rapport, et avec un degré de confiance élevé, que “des inondations plus importantes que celles observées depuis 1900 se sont produites au cours des 5 derniers siècles, dans le nord et dans le centre de l’Europe”.
Et dans son “Rapport spécial sur les événements extrêmes”, le GIEC confirmait “qu’il n’est pas possible d’évaluer les changements induits par le climat sur l’ampleur et la fréquence des crues, en raison du manque d’observations et des changements dans l’utilisation des sols”.
Nous pouvons également retenir l’étude de G.A. Hodgkins & al de 2017, qui est mieux ciblée sur l’Europe, qui indique que “l’évolution des inondations majeures est de l’ordre de ce qu’on peut attendre du hasard seul”, et que “ces inondations majeures sont dominées par la variabilité multi-décennale.”
C’est donc sans problème, que NATION s’associe à ceux qui disent la vérité.
Jean-Pierre Demol
Sources : Association des climato-réalistes – IPCC “Managing the risks of extreme events and disasters to advance climate change adaptation” – Journal of hydrology – Glenn A. Hodgkins
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