Intervention du 1er Mai de Jean-Pierre Demol!

Publié par NATION le

A l’occasion du 1er Mai, NATION a organisé des activités dans tout le pays. L’une d’entre elles a eu lieu à Bruxelles devant la plaque commémorant les pompiers assassinés par des terroristes gauchistes (les Cellules Communistes Combattantes), le 1er Mai 1985. Voici le contenu de l’intervention de Jean-Pierre Demol, ancien président du Mouvement NATION.

Chers Camarades,

Il y a un an, le premier mai 2020, les socialistes appelaient hypocritement au “changement”, “à un monde basé sur l’instinct de solidarité …”. On sait très bien de quels côtés sont dirigés leur solidarité, essentiellement vers leur propre profit, vers un progressisme absurde et vers leurs potes de la diversité, réservoir de voix aux élections. 

Il y avait aussi leurs faux ennemis, les libéraux du MR, qui prônaient le “pacte pour une société nouvelle, un autre monde …” . Là aussi, on connaît les fameux changements du MR, un premier “sinistre” qui quitte le navire quand il coule et qui va s’enrichir à l’Europe en léchant les babouches du dictateur turc. 

Et nous n’oublierons pas non plus, en parlant de “pacte”, celui de Marrakech, signé par la pire “patate” de Belgique. Inutile de le nommer, vous savez de qui je parle.

Je ne vais pas vous parler des fausses promesses et discours des autres partis traditionnels, qui ne sont que des collabos au service de l’un ou l’autre vainqueur des élections, du moment qu’ils aient une place au sein du pouvoir, ils appellent ça une “coalition …”

À NATION, et heureusement dans une partie du peuple, c’est l’écœurement, le ras-le-bol.

Rien ne fonctionnait déjà correctement avant la pandémie mais la crise du Covid-19 nous démontre les multiples incompétences des gouvernements pluriels du pays et principalement en Wallonie et à Bruxelles. 

L’économie du pays est au plus bas, et cela se répercute forcément sur le social.

La pandémie est gérée par un vrai cirque, avec des acteurs politiques et scientifiques dont on se demande parfois s’ils savent eux-mêmes de quoi ils parlent, tant les avis et décisions frôlent le ridicule et le n’importe quoi. 

Et cette crise sanitaire nous apporte son lot d’incivisme et de violence: l’extrême gauche infiltre des mouvements d’une jeunesse désabusée, et les pousse aux incivismes et à la violence envers les forces de l’ordre. Et il y a pire, cette politique laxiste, communale, régionale ou fédérale, laisse la racaille prendre possession de nos rues et de nos places.

Cela ne peut durer ! S’il faut en effet du changement, ce n’est pas celui que nous propose ce système pourri, pourri jusqu’à la moelle, ni ce progressisme dégénératif que propage dans notre société les gauches plurielles et les bobos bien-pensants. Eux qui s’inquiètent plus de l’accueil de migrants illégaux que des pauvres de chez nous ou qui s’intéressent plus aux gens qui ne sont “ni des hommes, ni des femmes” qu’aux vraies familles qui sont déjà à la merci d’une catastrophe économique et sociale annoncée.

Et je n’ai pas peur de le dire et de le redire : c’est nous, les nationalistes, avec le Mouvement NATION qui sommes les seuls à proposer de vrais changements, qui ne vont que dans le sens du peuple, par et pour le peuple. 

Plus que jamais, notre combat est important, il faut continuer ! Et malgré les cris de putois de nos détracteurs, gardons la tête haute ! Car nous sommes des gens debout et droits et notre combat est noble.

Jean-Pierre Demol


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