La repentance…à en vomir !

Publié par NATION le

Bon ben là, je crois qu’on a fait le tour ! La Belgique s’est excusée pour tout ce qu’elle a fait et même pas fait : aux africains, aux métis, aux juifs, aux collaborateurs (ah non, eux c’était normal même lorsqu’il s’agissait d’erreurs ou d’exécutions sommaires…)

Bref, en  quête de toutes les voix de toutes les minorités possibles, le monde politique belge dans sa quasi-totalité a entamé une grande reptation collective sous forme de repentance et d’ethno-masochisme.

Mais après tout, pourquoi ne pas solder les fautes et crimes du passé ? Alors ok, la Belgique a fait les premiers pas avec ses nombreux et variés mea culpa.

Il serait donc maintenant au tour du Congo et de sa population de s’excuser aussi pour tous les Belges agressés, blessés, violés et tués, parfois dans des conditions atroces, lors des « évènements du Congo » entre 1960 et 1964.

Que le Congo s’excuse pour les massacres à Stanleyville en 1964.

Que le Congo s’excuse pour les Belges assassinés à Kolwezi en 1978.

Mais aussi que le Congo remercie et rende hommage publiquement aux soldats belges qui, lors de la période coloniale, sont morts en se battant pour empêcher les bandes d’esclavagistes de faire des « razzias » dans les villages de ce qui était alors une colonie belge.

Et là, et seulement là, on pourra commencer à dire qu’on tourne la page !


3 commentaires

Yvon Guiot · 4 avril 2019 à 15 h 50 min

Très juste, arrêtons la repentance,surtout que beaucoup de méfaits endossés par la Belgique sont FAUX ! La critique de la colonisation belge au Congo a été alimentée par d’autres colonialistes voisins, jaloux de voir la Belgique gérer un si vaste territoire. La plupart des affirmations sont des “fake-news” d’époque, avec photos truquées (déjà) ,chiffres manipulés outrageusement,… Actuellement, ces mensonges sont repris afin d’ obtenir des avantages pour des migrants revendicatifs.
Ne tombons pas dans ce piège grossier.

Daniel Delforge · 4 avril 2019 à 16 h 00 min

On ne saura pas nous forcer à nous aplatir plus bas, il faudrait creuser le sol.

Michel Bausch · 5 avril 2019 à 16 h 22 min

Mes parents étaient otages à Stanleyville et moi j’étais dans le ventre de ma mère. Pour le même prix j’étais cloué à une porte…je commence à en avoir plus que marre de cette bande de collabos qui nous gouverne.

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